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Après le premier appel, la montagne est tombée

Après le premier appel, la montagne est tombée

Histoires vraies

Le jour où nous avons enregistré ce témoignage, Caroline et Vincent s’étaient déplacés à IVI Valencia pour donner un petit frère ou une petite sœur à Esteban, à nouveau avec un don d’ovules et de spermatozoïdes. Nous avons évoqué ensemble l’arrivée de leur premier fils, « après un parcours long et douloureux avec beaucoup d’échecs », en France.

C’est un moment difficile à vivre, lorsque vous vous rendez compte que vous avez trouvé la personne avec qui partager votre vie, mais vous savez dès le début que vous ne pourrez pas avoir d’enfants naturellement, la procréation assistée étant l’alternative pour réaliser ce rêve. C’est après plusieurs traitements de fertilité ayant échoué en France que leur médecin leur a conseillé de se rendre à Valence, en Espagne, pour commencer un traitement avec un double don. Caroline et Vincent ont tout d’abord ressenti des doutes et des craintes. Un autre pays, une autre langue… ils avaient soudainement la sensation qu’ils se trouvaient face à une grande montagne infranchissable, mais tout a changé après leur premier contact avec IVI Valencia. « Ils nous ont tout expliqué en français, et la montagne est tombée, tout était très naturel et réconfortant », se souviennent-ils.

IVI dispose d’une équipe de spécialistes francophones, précisément pour que les patients français se sentent accueillis et soutenus comme s’ils étaient dans leur propre pays. Nous considérons que cet accompagnement est essentiel pour tous nos patients, mais surtout pour ceux qui pourraient éprouver de l’appréhension à cause de la langue et qui ont peur de ne pas comprendre les informations concernant leur fécondité. « L’équipe médicale et toutes les personnes étaient vraiment gentilles et accueillantes ».

L’une des inquiétudes découlant inévitablement d’un traitement de fertilité avec don de gamètes et par conséquent de l’absence d’héritage génétique, concerne le type de lien qui sera créé entre les parents et les enfants. Il n’est pas toujours facile de l’accepter et il faut passer par ce que l’on appelle le « deuil génétique », qui selon les experts, doit être surmonté pour aller de l’avant. Caroline l’explique d’une manière très simple : cet enfant n’existerait pas si nous n’avions pas voulu l’avoir, donc il n’y a aucun doute, nous sommes bien les parents de Stephen.

Chez IVI, nous avons également une équipe de professionnels spécialisés dans le soutien psychologique de nos patients, pour résoudre tout type de doute sur des traitements qui exigent dans certains cas une très grande force de volonté.

Le témoignage de Caroline et Vincent nous fait part de l’importance de la persévérance et de l’espoir pour surmonter les obstacles. Le petit Esteban en est la preuve, lui qui regarde tout avec attention et cherche parfois les bras de ses parents, ignorant à quel point ce voyage est si spécial pour la famille qu’ils ont fondée.