Ce traitement est indiqué dans le cas des femmes :

• dont les ovocytes sont de mauvaise qualité

• affichant une défaillance ovarienne sans menstruations spontanées du fait de la ménopause

• ayant subi des échecs répétés en fécondation in vitro

• d’un âge avancé

Les semaines de gestation, dans le cas d’une grossesse naturelle comme dans le cas d’un traitement de reproduction assistée, sont comptées à partir de la date de début des dernières règles, la date probable de l’accouchement se situant environ 40 semaines après. Même si les dernières règles ont été provoquées par un traitement hormonal contraceptif, on compte la date de début de la même manière, et donc les semaines de grossesse à partir du premier jour.

Une autre possibilité consiste à prendre comme date de référence le jour du transfert embryonnaire et à ajouter deux semaines de plus, soit approximativement le temps écoulé entre la date des dernières règles et la fécondation de l’ovocyte et les premiers jours du développement embryonnaire.

En général, une fois la donneuse assignée, la durée du traitement oscille entre un mois et demi et deux mois. Il est important de rappeler qu’il est nécessaire de se soumettre à tous les examens médicaux et d’attendre les résultats ; suite à quoi il faudra les comparer à ceux de la donneuse pour vérifier qu’elle est bien la personne adéquate.

Les traitements avec don d’ovules sont des procédés très performants, où il est possible d’obtenir une grossesse dans environ 60 % des cas et qui atteignent des taux cumulés de grossesse de 99 % au bout de 3 essais seulement. Ce résultat ne dépend pas de l’âge, d’où le fait que ce procédé soit une excellente alternative pour toutes les femmes qui ne sont pas parvenues à tomber enceintes par les moyens conventionnels.

Il faut tenir compte du fait que le coût final peut varier selon les nécessités de chaque patiente, des tests qu’elle doit subir, etc. En général, le traitement médicamenteux que la patiente doit prendre n’est pas compris dans le devis initial.

Grâce aux recherches menées à bien par IVI en matière d’épigénétique, on sait que le milieu utérin influence énormément le développement du fœtus. Le dialogue qui se produit durant les mois de gestation avec l’embryon donne lieu à un important échange génétique, qui peut influencer les futurs traits physiques et psychologiques. Alors oui, votre enfant va ressemblera à sa mère, à savoir vous.

En principe à toutes les patientes ayant la capacité d’ovuler. Cela dit, à IVI nous appliquons toujours des protocoles personnalisés, et nous étudions chaque cas de manière individualisée.

On soulignera que le transfert d’embryons en cycle naturel était déjà effectué dans nos cliniques, puisque notre philosophie est celle de la décision médicale prise conjointement avec les patientes ; cela dit, nous estimons désormais que cette pratique est généralisée dans toutes nos cliniques et pour tous nos processus, ce qui prouve qu’à IVI, nous veillons à la sécurité et au bien-être de nos patientes. Par ailleurs, ce protocole s’applique aussi bien aux traitements réalisés avec le sperme du partenaire qu’à ceux réalisés avec le sperme d’un donneur.

De par les avantages qu’il présente par rapport à d’autres protocoles :

Plus de sécurité pour la patiente, car il y a moins de risque de pré-éclampsie, de césarienne et d’hémorragie post-partum. En supprimant la prise d’œstrogènes et en réduisant celle de progestérone, la patiente absorbe moins de médicaments. Et qui dit moins de médicaments dit coût réduit.

Sans oublier que ce protocole ne suppose aucun coût supplémentaire par rapport à d’autres.