Malgré un an de relations régulières non protégées, bébé tarde à apparaître. La cause peut être un désordre physiologique, ou encore une fertilité décroissante liée à l’horloge biologique. La capacité de concevoir peut-être contrariée par de nombreux facteurs. Pour ces raisons et bien d’autres, vous souhaitez avoir recours à la procréation assistée pour atteindre votre idéal : devenir parent. Pour préparer votre premier entretien avec le spécialiste IVI, vous devez savoir ce qui pourra vous être proposé et ce qui vous sera demandé. Aurez-vous besoin de vous présenter à deux ? Devrez-vous vous soumettre à certains examens de santé ? Vous munir de votre dossier médical ? Comment réussirez-vous à vous faire comprendre si vous ne parlez pas la langue de votre praticien ? Nous vous disons tout ce qu’il faut prendre en compte avant votre première consultation chez IVI.
Comment prendre rendez-vous avec IVI ?
À tout moment, il est possible de solliciter un rendez-vous dans la clinique IVI de votre choix ou avec un médecin en particulier en remplissant le formulaire dédié ou en téléphonant gratuitement depuis la France au 08 00 941 042, ou au +34 960 451 185 depuis un autre pays. À ce stade, certaines informations seront collectées, comme vos coordonnées et le motif de la demande de première consultation. Pour que le médecin prépare au mieux le rendez-vous, il faudra donner quelques détails sur les traitements ou les examens précédemment réalisés.
Qui doit se présenter lors de la première consultation chez IVI ?
Si les futurs parents forment un couple, alors la visite concerne les deux conjoints. Dans un premier temps, le praticien interrogera les patients sur leurs antécédents en matière de reproduction. Il vous sera demandé de fournir l’ensemble des résultats d’analyses ou dossiers en votre possession. Dans un deuxième temps, le spécialiste passera en revue votre historique médical et prendra connaissance de traitements déjà effectués ou en cours au moment de la consultation. De cet entretien préalable découlera, le cas échéant, la prescription d’examens complémentaires spécifiques, dont la nature varie suivant qu’ils s’adressent à un couple hétérosexuel, un couple lesbien ou une femme célibataire.
Quels examens complémentaires d’exploration peuvent être prescrits ?
Pour sonder la fertilité des patientes, il est probable que le spécialiste préconise un bilan hormonal, visant à étudier les taux de FSH (hormone folliculo-stimulante), LH (hormone lutéinisante), œstradiol, AMH (hormone anti-müllerienne), TSH et PRL. Cet examen, réalisé grâce à une prise de sang lors du 3e ou 4e jour du cycle reproductif, a pour but d’évaluer la réserve ovarienne. Il sera selon toute vraisemblance confirmé par une échographie pelvienne. Pour compléter le diagnostic, il sera nécessaire d’apprécier les caractéristiques du sperme du patient en pratiquant un spermogramme. Ce test permet de jauger la qualité et la quantité des gamètes mâles et d’écarter tout risque d’infection. Cette étape s’avère indispensable même si le patient a déjà réalisé un tel examen au préalable, car le résultat peut varier en fonction du type d’analyse.
La proposition d’un traitement adapté
Dès lors que le médecin dispose des informations nécessaires (c’est-à-dire qu’il n’existe plus de zone d’ombre et qu’aucun examen supplémentaire ni aucun résultat ne sont en attente), il sera possible d’envisager le traitement de fertilité applicable à votre cas. Ce n’est qu’à partir de cette étape que le département chargé de l’accueil des patients vous présentera un devis comprenant les méthodes de PMA à mettre en œuvre et l’ensemble des analyses et des examens déjà effectués. Il pourra s’agir d’une fécondation in vitro (FIV), d’une FIV Genetic, d’un don d’ovocytes, d’une insémination artificielle ou encore d’un protocole de préservation de la fertilité. Les traitements de PMA proposés chez IVI peuvent être enrichis par des techniques de pointe, comme la vitrification ovocytaire, la culture en EmbryoScope, le don de sperme, l’ICSI, le MAS, le DGP, le NACE et NACE Plus et le TCG.
Existe-t-il une liste d’attente chez IVI ?
Aucune liste d’attente ne retardera le début du traitement, quel qu’il soit. Cet engagement vaut également pour les protocoles nécessitant un don d’ovocytes. En effet, les cliniques IVI disposent de la plus grande banque d’ovocytes au monde (en termes de nombre de dons réalisés par an et d’ovocytes vitrifiés par an), permettant une gestion et une assignation des gamètes de façon quasi immédiate.
Le don d’ovocytes
IVI dispose du réseau de donneuses le plus étendu d’Espagne. Le don d’ovocytes est autorisé dans ce pays depuis 1988 (par la loi espagnole 35/1988 du 22 novembre 1988). La donneuse doit être âgée de 18 à 35 ans et afficher des antécédents génétiques conformes à la législation en vigueur. Elle doit présenter un appareil reproducteur normal et être en bonne santé physique et mentale. En outre, elle ne doit pas être porteuse de maladies sexuellement transmissibles. Le don d’ovocytes est entièrement anonyme et volontaire. IVI garde secrète l’identité des donneuses, aussi bien que celle des receveuses. Le profil de la donneuse est consigné pour faciliter la mise en correspondance avec le profil de la receveuse. Certaines informations, comme le groupe sanguin et l’âge de la donneuse, peuvent cependant être délivrées aux futurs parents.
Le don de sperme
La procédure du don de sperme exige que le donneur soit âgé de plus de 18 ans et en bon état de santé physique et mentale. Une série de tests génétiques, ainsi qu’une vérification complète des antécédents médicaux sont réalisés pour éliminer tout risque de transmission de maladies héréditaires. Les échantillons congelés sont conservés en quarantaine les six premiers mois, dans une banque de sperme. De nouveaux tests sont effectués à l’issue de cette période, pour vérifier l’absence de tout processus infectieux. Lorsque tous les contrôles sont concluants, les échantillons peuvent servir au traitement engageant une insémination intra-utérine ou une FIV.
L’insémination artificielle (IA)
L’insémination artificielle (IA) a pour but de pallier les problèmes de stérilité relatifs à un dysfonctionnement au niveau de l’ovulation, une altération du col utérin, un défaut de concentration ou de mobilité des spermatozoïdes. Ce procédé peut également être proposé aux patientes sans partenaire masculin (célibataires ou lesbiennes) qui désirent avoir un enfant.
La fécondation in vitro (FIV)
La fécondation in vitro (FIV) dite conventionnelle est le traitement de référence en cas d’insémination artificielle infructueuse ou de mauvaise qualité du sperme du partenaire masculin. Cette méthode remédie aux problèmes d’insuffisance ovarienne, d’endométriose ou de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). La fécondation in vitro est aussi indiquée en cas de facteur masculin sévère, ou lorsque le patient est porteur d’une maladie génétique. Elle est réalisée soit avec le sperme du conjoint, soit grâce à un don de sperme anonyme.
La fécondation in vitro avec injection intracytoplasmique (ICSI)
L’injection intracytoplasmique (ICSI) est une technique utilisée dans le cadre d’une fécondation in vitro (FIV). Ce procédé de PMA revient à mettre en contact direct l’ovocyte et le spermatozoïde. Ce geste ne nécessitant qu’un très faible nombre de spermatozoïdes sains facilite la fécondation dans les cas de facteur masculin sévère.
La méthode ROPA : un traitement de PMA spécialement dédié aux couples lesbiens
Technique de fécondation in vitro (FIV) proposée aux couples de femmes, la méthode ROPA (réception des ovocytes de la partenaire) permet à chacune des partenaires de partager activement le processus de conception du bébé. Cette technique, aussi appelée FIV réciproque, suppose une double maternité, utilisant le don d’ovocytes de l’une des patientes et l’emploi de l’utérus de l’autre. Cette maternité partagée peut être indiquée pour contrer l’absence ou l’altération de la qualité des cellules reproductrices. Elle peut également être préconisée en présence de désordres chromosomiques, voire en cas de risque de transmission héréditaire d’une pathologie. Enfin, la méthode ROPA peut être choisie par les patientes afin de participer réciproquement à la conception de l’enfant : l’une d’elles sera la mère génétique du bébé, l’autre portera le bébé et le mettra au monde.
La préservation de la fertilité
Les techniques de préservation de la fertilité offrent la possibilité de congeler les propres ovocytes de la patiente pour les utiliser ultérieurement dans le cadre d’une fécondation in vitro (FIV). Ce procédé permet de répondre à la baisse de la fertilité à partir de 35 ans, et d’augmenter les chances de concevoir un enfant après un traitement par chimiothérapie.
Un accompagnement dans votre langue d’origine
IVI propose les traitements de reproduction assistée personnalisés les plus novateurs et les plus performants à ses patients internationaux, dans leur langue maternelle. Dès la première consultation, l’attribution d’un tuteur bilingue assure compréhension et confiance, tant du côté des patients étrangers que des praticiens IVI. Pour cette raison, des personnes de plus de 185 pays choisissent IVI pour réaliser leur rêve de parentalité.
Le programme IVI Baby
Lors de votre première consultation, on vous parlera aussi du programme IVI Baby, un engagement garantissant le succès du traitement de PMA ou le remboursement des soins. Exclusivité des cliniques IVI en Espagne, IVI Baby est proposé sous trois formules, en fonction du processus à engager : IVI Baby FIV (pour les traitements par fécondation in vitro), IVI Baby FIV Genetic (destinée au traitement par fécondation in vitro avec PGS, pour preimplantation genetic screening, ou dépistage génétique préimplantatoire) et IVI Baby Ovodon (réservée aux traitements de PMA nécessitant un don d’ovocytes).
Vous désirez prendre rendez-vous ? N’hésitez pas à nous appeler au 08 00 941 042 (numéro gratuit depuis la France) ou au +34 960 451 185, ou à remplir notre formulaire dédié. Un spécialiste vous contactera en retour.
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