L’amniocentèse est une procédure médicale visant à établir le caryotype du fœtus. Pour examiner la constitution des chromosomes de l’embryon et dépister d’éventuelles anomalies, il faut ponctionner une petite quantité de liquide amniotique dans lequel grandit l’enfant à naître.
Depuis plusieurs décennies, l’âge de la première maternité recule. En France, par exemple, les mères ont en moyenne près de 31 ans lors de la première naissance. Or, il est prouvé que l’âge est en partie responsable de l’infertilité des femmes. Jusqu’à présent, pour répondre à cette situation, la solution proposée par la médecine… Voir l’article
La grossesse fantôme, ou pseudocyesis, est une affection psychosomatique atypique touchant 6 femmes sur 22 000 consultant pour une grossesse. Aussi connu sous le nom de fausse grossesse ou grossesse nerveuse, ce trouble somatoforme présente, malgré l’absence de fœtus, tous les symptômes de la grossesse : aménorrhée, gros ventre, seins tendus, nausées, prise de poids et même… Voir l’article
Devenir mère à 40 ans n’est, de nos jours, plus un exploit. Si tomber enceinte naturellement après la quarantaine est plus rare, une maternité tardive reste tout à fait envisageable grâce aux progrès de la science et de la PMA (procréation médicalement assistée). Comment concrétiser un projet de maternité alors que la fertilité féminine… Voir l’article
Il semblerait logique que, dans le cadre d’un projet d’enfant, un bilan de santé soit proposé aux hommes avant la grossesse. Dans les faits, ce bilan préconceptionnel se concentre surtout sur la santé et les antécédents des femmes.
Nous commençons une nouvelle année remplie de défis et d’enthousiasme, mais d’abord nous aimerions nous arrêter un peu et réfléchir sur tout ce que nous avons vécu pendant ces derniers 12 mois pour faire face à cette nouvelle année avec l’objectif de continuer à grandir, de nous dépasser, de nous développer, d’être toujours le meilleur… Voir l’article
Par choix ou par obligation, les couples sont de plus en plus nombreux à repousser le moment de fonder une famille. Or, on le sait maintenant de façon précise, les patients qui reportent leur projet parental jusqu’au milieu de la trentaine ou plus tard minorent leurs chances de réussite. Au pire, ils peuvent perdre définitivement tout espoir de voir se réaliser leur désir d’enfant. Souvent, les problèmes de fertilité sont dus, en partie, à l’âge des parents. Si la PMA dispose de nombreux moyens pour les aider dans leur démarche, elle est freinée par certaines contraintes naturelles comme le vieillissement des organes reproducteurs, l’altération des gamètes ou les risques encourus par la patiente lors d’une grossesse tardive. Pour y voir plus clair, voyons les raisons pour lesquelles il ne faut pas retarder les traitements de fertilité.
En Europe, un couple hétérosexuel sur sept est concerné par les troubles de l’infertilité. Parmi eux, un sur dix est prêt à se faire aider pour mener à bien son projet de parentalité. En France, plus de 50 000 couples et potentiellement 2 000 femmes seules ou en couple lesbien sont susceptibles d’avoir recours à la procréation médicalement assistée (PMA), sur place ou à l’étranger. Pour chacun de ces hommes et de ces femmes se pose une question immuable et cruciale : où s’adresser afin de bénéficier des meilleurs traitements de PMA et d’obtenir les plus grandes chances de réussir à concevoir un enfant ? Ensemble, passons au crible les critères essentiels pour savoir comment choisir une clinique d’infertilité, sans laisser aucune place au hasard.
Après une vasectomie, deux techniques permettent de répondre à un désir de grossesse. La première option, appelée vasovasostomie, consiste à renverser la vasectomie par voie chirurgicale. La deuxième option proposée dans le cadre de la PMA (procréation médicalement assistée) permet notamment de prélever les spermatozoïdes par biopsie testiculaire associée à une fécondation in vitro avec ICSI (injection intracytoplasmique d’un spermatozoïde). Pour éclairer le choix des patients face au désir de grossesse après vasectomie, faisons le point sur les diverses techniques proposées par le monde médical, les effets secondaires potentiels et les contre-indications, ainsi que les facteurs susceptibles d’influencer les chances de succès.
Le PGT permet d’écarter les embryons avec une altération génétique et de transférer seulement ceux de meilleure qualité. Par conséquent, le temps écoulé jusqu’à la naissance de l’enfant diminue, en même temps que le stress que beaucoup de patientes de PMA ressentent car elles ignorent le temps qu’il faut attendre jusqu’à la grossesse.