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21/06
Paris
Après une vasectomie, deux techniques permettent de répondre à un désir de grossesse. La première option, appelée vasovasostomie, consiste à renverser la vasectomie par voie chirurgicale. La deuxième option proposée dans le cadre de la PMA (procréation médicalement assistée) permet notamment de prélever les spermatozoïdes par biopsie testiculaire associée à une fécondation in vitro avec ICSI (injection intracytoplasmique d’un spermatozoïde). Pour éclairer le choix des patients face au désir de grossesse après vasectomie, faisons le point sur les diverses techniques proposées par le monde médical, les effets secondaires potentiels et les contre-indications, ainsi que les facteurs susceptibles d’influencer les chances de succès.
Le PGT permet d’écarter les embryons avec une altération génétique et de transférer seulement ceux de meilleure qualité. Par conséquent, le temps écoulé jusqu’à la naissance de l’enfant diminue, en même temps que le stress que beaucoup de patientes de PMA ressentent car elles ignorent le temps qu’il faut attendre jusqu’à la grossesse.
Saignements abondants, crampes abdominales, douleurs dans le ventre, le fibrome utérin est la tumeur bénigne la plus fréquente chez les femmes. Cette affection qui touche près d’une femme sur 10 impacte significativement la qualité de vie. De la simple gêne au risque d’infertilité, en passant par une anémie, des dyspareunies (douleurs pelviennes pendant les rapports). Les répercussions du fibrome sur la vie quotidienne sont variées et souvent pénalisantes. Qu’est-ce qu’un fibrome utérin et quels sont ses symptômes ? Quels risques fait-il peser sur les femmes qui en souffrent ? Comment affectent-ils la grossesse ? Focus sur une des pathologies gynécologiques les plus répandues, mais encore mal connues du grand public.
On entend souvent dire que le stress diminue les chances de tomber enceinte. En réalité, que savons-nous au sujet des répercussions du stress sur la santé en général et sur la fertilité en particulier ? On emploie couramment le mot « stress » pour désigner un état de tension nerveuse aigüe, difficile à gérer pour la personne qui… Voir l’article
Le cancer du sein est la tumeur la plus répandue chez les femmes dans les pays industrialisés occidentaux. Les statistiques dénombrent chaque année près de 90 nouveaux cas pour 100 000 femmes en Europe de l’Ouest. Les données scientifiques indiquent également un taux de survie de 87 % à 5 ans et de 82 % à 10 ans. Le risque augmentant avec l’âge, dans la plupart des cas, le cancer touche les femmes entre 45 et 65 ans. Cependant, 10 % des cancers du sein concernent les femmes avant 40 ans qui n’ont, pour certaines, pas encore réalisé leur projet parental. Cancer du sein et désir de maternité sont-ils conciliables ? On vous explique comment la PMA (procréation médicalement assistée) intervient dans la planification de la grossesse après le traitement du cancer du sein.
Connaitre les étapes de la FIV (fécondation in vitro) pour s’engager dans un parcours de PMA (procréation médicalement assistée) en toute transparence : tel est le but de ce pas-à pas clair et détaillé. De la première consultation au jour J du transfert d’embryon, nous vous expliquons la chronologie du protocole qui rythmera votre parcours. En quoi consiste la stimulation ovarienne ? Comment les ovocytes sont-ils fécondés ? Comment se déroule l’implantation embryonnaire ? Pour vous aider à aborder sereinement votre traitement, décryptons ensemble les étapes de la fécondation in vitro (FIV).
Le 75e congrès de la société américaine de procréation médicalement assistée (ASRM) vient de s’achever. Il a réuni des centaines de spécialistes de la reproduction qui ont partagé leurs dernières découvertes en matière de médecine reproductive. Parmi celles-ci, nous aimerions vous faire partager deux des études que nous avons présentées lors de ce congrès et… Voir l’article
Planifier sa grossesse, c’est établir un plan d’action pour mettre de son côté toutes les chances de tomber enceinte et de donner le jour à un bébé en bonne santé. Adopter une hygiène de vie saine, privilégier une alimentation équilibrée, entretenir sa forme physique et son tonus mental et surveiller sa santé sont quelques-unes des étapes de ce processus. Que la grossesse soit envisagée de façon naturelle ou programmée grâce aux techniques de PMA, préparer le terrain en amont est indispensable pour favoriser vos chances de réussite. Planification avant la conception : quand commencer ? Que faire et pourquoi c’est important ? Nous vous donnons quelques conseils pour tout savoir avant la grossesse.
Première cause de cancers et responsable de nombreuses maladies cardiovasculaires, le tabac est aussi à l’origine de multiples troubles de la fertilité, tant chez les hommes que chez les femmes. L’arrêt du tabac avant un traitement de PMA constitue une étape incontournable pour maximiser les chances de fécondation, aider au bon développement de l’embryon et favoriser la naissance d’un bébé en pleine santé. Selon les chiffres de l’OMS, les fumeurs représentent plus d’un milliard de personnes à travers la planète. En tout, 40 % de la population masculine mondiale fume, contre 9 % de la population féminine.
Le cancer de l’ovaire et ses traitements font planer de sérieux risques sur la fertilité féminine. En effet, si les progrès de la science permettent de venir à bout de cette maladie touchant un des organes essentiels de l’appareil génital, les protocoles chirurgicaux, les traitements par radiothérapie, chimiothérapie ou hormonothérapie sont susceptibles d’affecter de façon irréversible le fonctionnement reproductif des patientes. Dans quels cas est-il possible d’envisager une grossesse après un cancer de l’ovaire ? Quelles méthodes de procréation médicalement assistée peuvent être mises en œuvre pour faire aboutir ce projet parental ? Faisons un point sur les traitements de PMA et notamment sur les techniques de préservation de la fertilité susceptibles de concrétiser un désir de grossesse après un cancer de l’ovaire.