Devenir mère à 40 ans n’est, de nos jours, plus un exploit. Si tomber enceinte naturellement après la quarantaine est plus rare, une maternité tardive reste tout à fait envisageable grâce aux progrès de la science et de la PMA (procréation médicalement assistée). Comment concrétiser un projet de maternité alors que la fertilité féminine… Voir l’article
Il semblerait logique que, dans le cadre d’un projet d’enfant, un bilan de santé soit proposé aux hommes avant la grossesse. Dans les faits, ce bilan préconceptionnel se concentre surtout sur la santé et les antécédents des femmes.
Nous commençons une nouvelle année remplie de défis et d’enthousiasme, mais d’abord nous aimerions nous arrêter un peu et réfléchir sur tout ce que nous avons vécu pendant ces derniers 12 mois pour faire face à cette nouvelle année avec l’objectif de continuer à grandir, de nous dépasser, de nous développer, d’être toujours le meilleur… Voir l’article
Par choix ou par obligation, les couples sont de plus en plus nombreux à repousser le moment de fonder une famille. Or, on le sait maintenant de façon précise, les patients qui reportent leur projet parental jusqu’au milieu de la trentaine ou plus tard minorent leurs chances de réussite. Au pire, ils peuvent perdre définitivement tout espoir de voir se réaliser leur désir d’enfant. Souvent, les problèmes de fertilité sont dus, en partie, à l’âge des parents. Si la PMA dispose de nombreux moyens pour les aider dans leur démarche, elle est freinée par certaines contraintes naturelles comme le vieillissement des organes reproducteurs, l’altération des gamètes ou les risques encourus par la patiente lors d’une grossesse tardive. Pour y voir plus clair, voyons les raisons pour lesquelles il ne faut pas retarder les traitements de fertilité.
En Europe, un couple hétérosexuel sur sept est concerné par les troubles de l’infertilité. Parmi eux, un sur dix est prêt à se faire aider pour mener à bien son projet de parentalité. En France, plus de 50 000 couples et potentiellement 2 000 femmes seules ou en couple lesbien sont susceptibles d’avoir recours à la procréation médicalement assistée (PMA), sur place ou à l’étranger. Pour chacun de ces hommes et de ces femmes se pose une question immuable et cruciale : où s’adresser afin de bénéficier des meilleurs traitements de PMA et d’obtenir les plus grandes chances de réussir à concevoir un enfant ? Ensemble, passons au crible les critères essentiels pour savoir comment choisir une clinique d’infertilité, sans laisser aucune place au hasard.
Après une vasectomie, deux techniques permettent de répondre à un désir de grossesse. La première option, appelée vasovasostomie, consiste à renverser la vasectomie par voie chirurgicale. La deuxième option proposée dans le cadre de la PMA (procréation médicalement assistée) permet notamment de prélever les spermatozoïdes par biopsie testiculaire associée à une fécondation in vitro avec ICSI (injection intracytoplasmique d’un spermatozoïde). Pour éclairer le choix des patients face au désir de grossesse après vasectomie, faisons le point sur les diverses techniques proposées par le monde médical, les effets secondaires potentiels et les contre-indications, ainsi que les facteurs susceptibles d’influencer les chances de succès.
Le PGT permet d’écarter les embryons avec une altération génétique et de transférer seulement ceux de meilleure qualité. Par conséquent, le temps écoulé jusqu’à la naissance de l’enfant diminue, en même temps que le stress que beaucoup de patientes de PMA ressentent car elles ignorent le temps qu’il faut attendre jusqu’à la grossesse.
Un protocole de PMA (procréation médicalement assistée) peut parfois ressembler à un véritable parcours d’obstacles dans lequel le mental tient une place prépondérante. Jalonné de succès et d’échecs, de nouvelles encourageantes et de mauvaises surprises, le projet parental peut à terme devenir source de troubles émotionnels et de souffrances psychiques. Or, nous le savons maintenant, ce mal-être générateur de stress peut diminuer les chances de tomber enceinte, impacter la grossesse, voire entraîner le renoncement aux soins.
Saignements abondants, crampes abdominales, douleurs dans le ventre, le fibrome utérin est la tumeur bénigne la plus fréquente chez les femmes. Cette affection qui touche près d’une femme sur 10 impacte significativement la qualité de vie. De la simple gêne au risque d’infertilité, en passant par une anémie, des dyspareunies (douleurs pelviennes pendant les rapports). Les répercussions du fibrome sur la vie quotidienne sont variées et souvent pénalisantes. Qu’est-ce qu’un fibrome utérin et quels sont ses symptômes ? Quels risques fait-il peser sur les femmes qui en souffrent ? Comment affectent-ils la grossesse ? Focus sur une des pathologies gynécologiques les plus répandues, mais encore mal connues du grand public.
On entend souvent dire que le stress diminue les chances de tomber enceinte. En réalité, que savons-nous au sujet des répercussions du stress sur la santé en général et sur la fertilité en particulier ? On emploie couramment le mot « stress » pour désigner un état de tension nerveuse aigüe, difficile à gérer pour la personne qui… Voir l’article